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Un bon loufoque satire loin, mais le plus dur ne serait-ce pas la chute ? James Px.

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Un bon loufoque satire loin, mais le plus dur ne serait-ce pas la chute ? James Px.

jeudi

Sur la place des quatre sans cul


Avant la lecture de ce loufoque érotique campagnard il faut être détendu et avoir l'esprit bien en place
C'est du septième degré Ô juste ciel 


Quand Madame Culot fait son cinéma sur la place des quatre sans cul entre un pénétromètre statique et une tasse de thé vert

Voilà le va-et-vient
La fameuse danse des pingouins
Elle sort l’engin
Enfin son cousin
Je me suis toujours posé la question
Vous aussi
Maman comment on fait les bébés
En regardant la télé
Revenons à nos moutons
Ouf merci
C’est quoi cet engin
Ben
Il y a le modèle Hollandais
Français
Chinois
Ma foi
Ils ont opté pour la qualité
Ils n’aiment pas les machines débridées
Auraient-ils peur de faire un bide
Ou de finir à la une du journal local dans une histoire morbide

Quand Madame Culot fait son cinéma sur la place des quatre sans cul entre un pénétromètre statique et une tasse de thé vert

Serait-ce le nouveau dispositif communal pour faire des essais de pénétration
Un truc tropical encore bidon s'exclame Léon
Après les affaissements de la mère Culot
Situé au fond du cul de sac
Impasse du Sérac
C'est inscrit dans les annales
De cette petite commune rurale
Ce truc serait un tord-boyau
Il comprend un train de tiges se terminant par une pointe conique
Permettant de déterminer les caractéristiques mécaniques
Du sol in situ ré mi sol la si do sol

Quand Madame Culot fait son cinéma sur la place des quatre sans cul entre un pénétromètre statique et une tasse de thé vert

Et puis submergée par un désir quotidien emmêlée dans ses draps dénoués
Toujours éprise par le nain de jardin caché sous l’oreiller
Une vieille version rose de la série blanche neige et les sept mains
Des années quatre vingt
Un vieux modèle déposé par Brigitte Lahaie
Déjà un made in China gravé sur le fond en violet
Le corps gras et nu encadré par deux lampes de chevet
Puant le bouc ramenées du Maroc suite à un voyage organisé s’il vous plaît
Pauvre Madame Culot soumise sans être satisfaite par la bannette de son cher
Et pourtant bon marché mari boulanger venant du Loire et Cher
La femme de ce dernier choisit comme tous les samedis soirs d’aller au cinéma d’à côté
Avec le jeune cousin l'engin de son défunt premier mari Félicien fils du boucher

Quand Madame Culot fait son cinéma sur la place des quatre sans cul entre un pénétromètre statique et une tasse de thé vert

Elle l’a posé plus d’une fois son gros cul dans ce bordel
Des heures ininterrompues sauf par la mouille Ô cruelle
Finissant par irriter la toile de jute de la bergère
Ce soir à l’affiche « Les quatre cent coups »
Cela devrait plaire à beaucoup
Une métaphore amoureuse une panoplie de jambe en l’air
Un Truffaut revisité une sorte de nouvelle vague
Non mais sans blague
Un scénario sous la ceinture avec spermatozoïdes et cornichons extra fin
Fin
Non on continue car vous avez faim
La bourgeoise sous l’œil du guichetier
Sort la petite monnaie de son jupon perforé
Modèle Kiabi peau d’âne ou d’orange
Comme c’est étrange
Fesses lourdes tenues par une paire de hanches gracieuses et potelées
L’ensemble est affriolé bariolé surmonté surpiqué
Ici c'est la mode à Beuvron-en-Auge serait-elle prête
A dégainer pour se faire tirer comme la mamelle d’une vache à lait avant la traite
La mère Culot coincée dans le fauteuil rouge grenade dégoupille le puceau
Assis à côté d’elle rouge sang de bœuf le fils du boucher va exploser du robinet
Ce gros niais
A force de la serrer pour ne pas éclater le berlingot trop tôt
Le pauvre un éjaculateur précoce au prépuce écarlate à force de se tirer le manche
Tous les jours et au nom de Dieu même le dimanche

Quand Madame Culot fait son cinéma sur la place des quatre sans cul entre un pénétromètre statique et une tasse de thé vert

Prose... statique
Pas de panique...

Et pendant tout ce temps, le boulanger se réchauffe les grelots auprès de sa blonde et du feu de bois. Il reste en slip blanc kangourou pour la ventilation devant ses miches bien cuites et dorées toutes les nuits, comme s’il voulait les faire sauter de joie, les faire rougir de plaisir !
C’est la petite du coiffeur, la Bernadette qui se tape les livraisons des baguettes sans en goûter la mèche brûlante et ce n’est pas l’envie qui lui manque. Le boulanger perd souvent ses mains sur ce derrière d'ingénue de cette vicieuse. Mais les neurones dans la cafetière et sa mère qui lui bourre le crâne qu’elle finira en enfer si elle éteignait un jour la bougie du boulanger avec sa langue, la jeune garce fait juste monter le mercure et tendre la poche du kangourou à chaque Angélus !
Cette grenouille de bénitier la Josette, avait pourtant bien trempé son cul dans la rivière avec le croûton Gaston, le frère du boulanger quand elle avait 18 ans. Gaston a fini chez les jésuites à se faire cirer le fion pendant que notre Josette a fini chez le coiffeur Léon, se faire mettre un cadenas en forme de bigoudis.
Depuis ce jour, la grenouille est folle dingue de la borne d’incendie installée en face du presbytère, après la guerre du feu, pour se refroidir la crête de dindon, la bourgeoise finit toujours à minuit par se mettre la figue dans la glacière été comme hiver !
Léon le coiffeur et pompier volontaire s'amuse à lui décongeler les moustaches chaque matin, ce qui lui permet de ne pas perdre la main ! Voilà comment se termine cette histoire de tire bouchon, de cul et de campagne là-bas dans une petite bourgade oubliée dans un vallon où quand Madame Culot fait son cinéma sur la place des quatre sans cul entre un pénétromètre statique et une tasse de thé vert, où tout le monde rêve d'attraper le cul de son voisin. Moralité, qui a dit qu'à la campagne on s'ennuyait à mourir
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Bravo d'avoir lu jusqu'au bout ! Vous avez gagné un séjour d'une semaine chez la mère Culot la reine du tord-boyau ! Inscription sur mp. Nota elle n'aime pas les commentaires trop secs, cela lui irrite la gorge, mais n'est pas contre un petit blanc avec une rondelle de saucisson.

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